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Source : Wikipédia |
De nos jours, il est bien
connu que les activités polluantes de l’humanité menacent la biodiversité, épuisent
les ressources naturelles et modifient sensiblement le climat de la Terre.
Les atteintes au climat sont
les plus visibles et on ne compte plus les vagues de chaleur inusitées, les
sécheresses interminables et les inondations désastreuses.
On a même souvent l’impression
que les sautes d’humeur de la météo sont récentes.
Or, on sait que les
relations des Jésuites font souvent état, au 17e siècle, de pluies
tombant aux alentours de Noël.
Autrement dit, notre hiver d’antan,
réputé si rigoureux, avait des périodes de relâche.
Et, plus récemment,
Saint-Jean et sa région ont connu un autre épisode hivernal inattendu.
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Source : Wikipédia |
Le dimanche soir, 19 février
1922, a éclaté un orage tellement inopiné que le Canada Français en a fait
état.
Aux éclairs et au tonnerre s’est
associée une forte pluie chaude qui a surpris la clientèle à la sortie des
théâtres et des bars.
Il va de soi qu’une pluie à
cette période de l’année a paru fort étonnante.
Pourtant, le journal le
signale lui-même : ce ne devait pas être si rare que cela puisqu’un dicton
existait déjà à ce sujet :
« PLUIE
EN FÉVRIER VAUT FUMIER. »
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