Très longtemps, les artères de
Saint-Jean ont été en simple terre battue, ce qui signifiait des nuages de
poussière au passage des voitures et au moindre souffle de vent.
Très longtemps aussi, la
municipalité a employé des voitures-citernes tirées par des chevaux pour
humecter le sol afin d’éviter les pulvérulences.
Mais au début des années 1920,
Saint-Jean a commencé à cimenter certaines de ses rues et la solution utilisée
pour les voies de terre ne convenait plus.
Mais… frileuse devant le coût d’un équipement
adapté aux nouvelles conditions elle chercha longtemps une solution plus économique.
Puis, la lumière se fit.
Source : Ville de Saint-Jean |
Il fut décidé, en 1922, de confier aux pompiers en service, le soin d’arroser
et de « laver » les rues pavées.
Ceci avait le double avantage d'occuper les
sapeurs et de protéger les goussets des contribuables...